Le Lac des Cygnes – Les distributions du cru 2016

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C’est pas tout ça les amis, mais le Lac approche à grands pas ! Siegfried et Odette/Odile reviennent à Bastille et ce sera bien entendu un point fort de la saison 2016-2017. Histoire de se mettre en appétit, voici un petit aperçu des distributions concoctées par Aurélie Dupont pour le premier grand ballet du répertoire donné sous sa Direction.

Aurélie Dupont avait prévenu : les distributions seront étoilées. Et en effet, elles le sont. Elles ont déjà été décriées à ce titre, mais, si j’y trouve aussi de petites déceptions, je dois dire que je les trouve très satisfaisantes. Les choix opérés me semblent pertinents, sans incongruité, et de nature à nous offrir de belles soirées. Voici, dans l’ordre d’apparition au cours de la série, les couples distribués:

La distribution « couple fusionnel »

Des couples qui fonctionnent très bien en ce moment à l’Opéra, il y en a quelques uns, et celui formé par Myriam Ould-Braham et Mathias Heymann est sans aucun doute de ceux-là. Ils nous l’ont encore prouvé récemment dans Giselle. Le miracle va-t-il se reproduire sur la scène de Bastille ? Il est absolument permis de le croire.

Myriam Ould-Braham dansera le double rôle Odette/Odile pour la première fois: je la vois très bien en cygne blanc, son cygne noir en revanche m’interroge un peu plus, et l’Etoile devra y montrer un autre visage. Mathias Heymann est pour sa part un Siegfried déjà rôdé et que j’attends avec beaucoup d’impatience. A leurs côtés, Karl Paquette est un habitué du rôle de Rothbart, qui lui va comme un gant. A voir les 7, 10, 13, 16, 21 et 24 décembre.

La distribution « surprise »

Amandine Albisson et Mathieu Ganio ne forment, pour leur part, pas spécifiquement le partenariat du siècle. J’ai tendance à penser qu’il tient la route, que les deux danseurs y trouvent leur compte, mais qu’il n’est pas celui où ils pourraient briller le plus. L’énergie d’Amandine Albisson a d’ailleurs tendance à dépasser un Mathieu Ganio plus tranquille dans son interprétation. Cela, du moins, c’est ce que je garde comme souvenir des dernières prestations où je les y ai vu. Il reste à voir comment tout ceci aura évolué et s’adaptera au cadre particulier du Lac des Cygnes.

Mathieu Ganio a, lui aussi, toutes les qualités pour nous refaire un Siegfried en or (mais je l’espère plus travaillé dans son interprétation, qu’il a à mon sens une petite tendance à laisser en surface). Amandine Albisson, pour sa part, fera elle aussi sa prise de rôle. J’ai, ça commence à se savoir, un certain faible pour cette Etoile qui m’enthousiasme en un rien de temps. J’ai hâte de découvrir son cygne noir ! Son cygne blanc, en revanche, me laisse un peu plus dubitatif…mais j’aurais largement l’occasion de voir si ce pressentiment est, ou non, justifié. François Alu sera leur Rothbart: un rôle qu’il dansera en scène pour la première fois et qu’il saura étoffer avec intelligence et brio technique. Ils danseront les 5, 8, 11, 14, 17 et 19 décembre. 

La distribution « rôle fétiche »

Laura Hecquet retrouve un rôle qui doit certainement lui tenir à coeur, et pour cause: c’est celui de sa nomination. Ses belles lignes font d’elle un beau cygne, elle ne devrait encore pas décevoir sur cette série. Josua Hoffalt a, il y a bientôt deux ans, construit un pastiche où le Lac tenait une belle place (Tchaïkovsky, récits du royaume des songes avec Samuel Murrez et la troupe 3e Etage). Le couple s’entend bien en général et le résultat en scène est en général présent.

Stéphane Bullion, en Rothbart, devrait apporter avec talent la touche sombre du ballet, son niveau technique m’avait en revanche laissé perplexe dans Giselle en juin dernier (et la variation de Rothbart n’est pas non plus une formalité), mais peut-être la fin de saison y était-elle pour quelque chose. 

Malgré les qualités certaines de cette distribution, ce n’est pas mon choix préféré (à titre personnel), les deux danseurs ne me convaincant pas sur la durée mais de manière assez variable. Leur distribution en fin de série, en plein milieu des fêtes de Noël, m’empêchera malheureusement d’infirmer ce pressentiment…Vous pourrez les voir les 22, 26, 29 et 31 décembre. 

La distribution « partenariat naissant »

Tout juste promu Premier Danseur, Germain Louvet se voit offrir une très belle opportunité, quelques mois après son Roméo de mars-avril 2016. Un rôle en or qui représente une belle occasion de transformer l’essai et de prouver une fois pour toutes, tant techniquement qu’artistiquement, qu’il faudra à l’avenir compter sur lui comme un pilier de compagnie. Le physique romantique, les belles qualités d’adage comme de grand saut et l’envie de creuser un personnage devraient permettre une jolie prise de rôle de Siegfried.

Il pourra compter sur l’expérience de Ludmila Pagliero: l’Etoile propose toujours une danse de qualité, des interprétation de la même eau. Elle connaît le rôle, et si je ne l’y connaît pas j’en suis néanmoins très curieux. Surtout, les deux danseurs se connaissent: il faisaient merveille dans Blake Works et s’accordaient très bien, est-ce un nouveau partenariat qui naît à l’occasion de ce Lac ? En d’autres termes, est ce que Pagliero/Louvet is the new Gilbert/Marchand ? Je ne suis pas contre l’idée.

Rothbart sera interprété par Mathieu Ganio, j’en suis plutôt surpris, nous verrons bien ce qu’il donne dans ce rôle. A découvrir les 25, 28 et 30 décembre.

Le point « Pas de Trois »

Il serait dommage de ne pas jeter un oeil sur les titulaires du Pas de Trois de l’Acte I. Cinq trios sont prévus pour cette série:

Léonore Baulac/Hannah O’Neill/Germain Louvet: le groupe qui donne envie de dire « Ouah ». Ces Premier-ère-s danseur-euse-s sont en belle forme, et vont nous envoyer un pas de trois mené tambour battant. J’attend les arabesques de Léonore Baulac, les lignes de Hannah O’Neill et les pas de bourré-grand jetés de Germain Louvet. Les 5 et 8 décembre avec Amandine Albisson et Mathieu Ganio, let 13 décembre avec Myriam Ould-Braham et Mathias Heymann. 

Léonore Baulac/Hannah O’Neill/François Alu: les mêmes, Germain Louvet en moins et François Alu en plus. Un style différent mais autant d’enthousiasme de ma part: ça va envoyer du lourd (vous les voyez avec moi, les tours en l’air impeccables et le manège final ahurissant ?). Les 7, 21 et 24 décembre avec Myriam Ould-Braham et Mathias Heymann et les 29 et 31 décembre avec Laura Hacquet et Josua Hoffalt. 

Sae-Eun Park/Séverine Westermann/Jérémy-Loup Quer: Là aussi un trio enthousiasmant. Sae-Eun Park, nouvelle Première Danseuse, montrera toutes ses qualités techniques. Je connais moins bien Séverine Westermann, mais ce que j’en ai vu m’incite à penser qu’elle fera très bien le job. Jerémy-Loup Quer est efficace dans ce registre, je suis content de le voir distribué ! A voir les 10 et 16 décembre avec Myriam Ould-Braham et Mathias Heymann et les 11 et 19 décembre avec Amandine Albisson et Mathieu Ganio. 

Fanny Gorse/Héloïse Bourdon/Fabien Révillion: Deux danseuses efficaces voir carrément sublimes, un Fabien Révillion qui a fait ses preuves et fera le travail sans problème, rien à dire. A voir les 14 et 17 décembre avec Amandine Albisson et Mathieu Ganio et les 22 et 26 décembre avec Laura Hecquet et Josua Hoffalt. 

Eléonore Guérineau/Marine Ganio/Axel Ibot: Eléonore Guérineau fera merveille dans ce registre. Marine Ganio tiendra le niveau, Axel Ibot en revanche peine plus à me convaincre par anticipation, je le vois aujourd’hui moins dans ce type de démonstration technique qu’est le Pas de Trois. A voir les 25, 28 et 30 décembre avec Ludmila Pagliero et Germain Louvet.

Quelques derniers mots

Je suis globalement satisfait de ces distributions, mais elles ne sont tout de même pas sans regrets. Bien sûr, on ne peut pas distribuer tout le monde, des choix doivent être faits, et la priorité aux Etoiles est la nouvelle boussole de la direction.

Comment toutefois ne pas regretter l’absence, que je qualifierais presque d’éclatante, d’Héloïse Bourdon. Quel, mais quel dommage, de ne pas pouvoir apprécier son Cygne à Bastille cet hiver. Les russes, qu’on ne peut soupçonner d’amateurisme lorsqu’on parle du Lac, ne s’y sont pas trompés, eux. La reléguer au pas de trois sonne à cet égard comme une faute de goût. 

Siegfried est aussi un rôle que Hugo Marchand aurait pu endosser pour notre plus grand plaisir. Le réattribuer à François Alu aurait permis d’apprécier son évolution depuis bientôt deux ans (et de le sortir du piège des « pas virtuoses » où il me semble qu’on l’enferme un peu trop ces derniers temps). Pourquoi pas avec Sae-Eun Park comme Odette/Odile ?

Enfin, ne boudons pas non plus notre plaisir. Hâte d’être sur les rives du Lac ! 

Photo: Claire Motte et Jean-Paul Andreani, Opéra de Paris 1960.

 

17 commentaires Ajoutez le vôtre

  1. Léa dit :

    Peut-on au moins espérer que François Alu soit (enfin !!) nommé étoile dans son Rothbart? C’est un rôle d’Etoile.
    Mathieu Ganio avait demandé expressément d’être distribué dans des rôles plus proches du « caractère », et plus seulement dans les rôles de Prince. C’est un souhait compréhensible quand on est étoile depuis longtemps, « jeune premier » indiscuté depuis des années, dans la trentaine et soucieux de préparer la suite, de s’ouvrir à d’autres choses (c’est comme ça qu’il le présente). Il semble qu’il ait été entendu. Ce qui est étonnant c’est qu’on lui ait quand même donné autant de dates en Siegfried. Il y a risque de blessure…. En effet François Alu et Hugo Marchand auraient pu y prétendre, mais … ils ne sont pas Etoiles !!

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  2. Léa dit :

    Par ailleurs Hugo Marchand est distribué dans Kilian, du coup ça peut expliquer son absence dans ce Lac…

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  3. Hiver dit :

    Bonsoir,
    Quel plaisir de vous lire.
    Les distributions pour ma part ne m’étonnent pas et sont en cohérence non seulement avec le récent concours de promotion mais aussi avec le grade des danseurs.
    Même si je me réjouis pour Germain Louvet, j’ai un petit faible supplémentaire pour Hugo Marchand. François Alu est un danseur époustouflant, mais je pense qu’il peut encore un peu mûrir artistiquement avant une nomination d’étoile. J’ai confiance en Aurélie Dupont pour trouver le juste moment, il ne faudrait pas non plus qu’il se décourage et perde son énergie et sa fougue en le faisant trop attendre, et pour qu’il atteigne une entièreté artistique il faut justement lui donner plus de rôle d’étoile.
    J’aurais aimé voir Arthus Raveau distribué, c’est un danseur de grand talent à mon sens, mais il est déjà distribué sur Kilian.
    Sae Eun Park est une danseuse que j’adore et si ça ne tenait qu’à moi, ce serait elle la future étoile ! Elle est énergique, gracieuse, précise, virtuose, et il y a une poésie chez elle. Elle a été promue, elle est appréciée par la nouvelle direction, je pense que dans deux ans au plus tard ce sera fait. Pour l’instant il y a probablement trop de contemporains programmés cette saison pour permettre de belles soirées de nominations.
    J’avoue ne pas comprendre l’engouement autour d’Héloise Bourdon, et cela m’attriste car j’aimerais partager avec une grande partie du public l’admiration pour cette danseuse.
    Je trouve qu’au moins la direction est cohérente. Il aurait été bizarre de ne pas la promouvoir première danseuse mais de la distribuer dans le rôle d’Odile/Odette. (comme c’était le cas avec Mathilde Froustey, que pour le coup j’adorais ! ). Je pense qu’Héloise Bourdon devrait encore attendre 2 ou 3 ans pour voir si elle est promue avant de voguer vers d’autres cieux peut-être plus clément. En effet il me semble que passé ce délai des danseuses comme Alice Catonnet seront par exemple promues, voire nommées, à sa place.

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    1. Léa dit :

      C’est vrai qu’Artus Raveau aurait également été magnifique. Côté danseuses j’ai une nette préférence pour Hannah O’Neil par rapport à Sae Eun Park. Et je regrette qu’Héloise Bourdon n’ait pas une soirée… Mais ce serait aussi l’enfermer dans ce rôle de cygne…. Et il faut respecter la hiérarchie….

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      1. Mrie dit :

        Il faudrait plutôt respecter le talent et non s’enfermer dans une hiérarchie qui permet à certains et à certaines qu’on ne leur fasse pas d’ombre.

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  4. spirou dit :

    Comment pouvez-vous donner votre avis sur un ballet que vous n’avez jamais vu en vrai ? Le web est plein de ces avis donnés au pif sans connaissance fine du sujet…..

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    1. ildanse dit :

      Il serait hypocrite de dire que personne n’a un avis sur les distributions, ou des préférences. Je partage les miennes pour ceux que ça intéresse, avec la subjectivité assumée qui est la mienne (c’est un peu le principe d’un blog), et sans prétendre être le détenteur de la Sainte Vérité : il est possible que je me trompe, et même que je regrette de ne pas être allé voir certaines distributions qui ne me faisaient pas « envie » !

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      1. spirou dit :

        Non mais donner son avis sur des danseurs qu’on a jamais vu dans ces rôles, c’est quand même très prétentieux. Tout le monde a peut être un avis ou une idée mais l’écrire sur un blog et en faire la pub c’est une étape au dessus. De plus en plus de blogs de pseudo spécialistes (ni danseurs professionnels ni spectateurs de longue date) envahissent le net et font du mal aux danseurs et à l’art de la danse.

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  5. Hiver dit :

    Par ailleurs je tenais à vous signaler cet interview d’Agnès Letestu, à partir de 18:25 : https://www.youtube.com/watch?v=8Iik70Fjes0&t=1950s
    C’est peut-être l’interview d’étoiles le plus intéressant que j’ai eu le plaisir d’écouter depuis longtemps.
    Bien loin des clichés habituelles sur la souffrance, ou encore la dureté de l’école de danse…
    Je ne sais pas si vous l’avez posté sur votre blog, auquel cas pardonnez-moi !

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  6. Léa dit :

    Les abandons de Hoffalt (décidément….) et Hecquet, quelle déception !!! Une superbe distribution qui s’annonçait…. et des séries encore plus longues pour certains titulaires, avec donc le risque de blessure. Vraiment déçue…

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  7. Janis dit :

    Je suis de celles qui non seulement participent a cet engouement général pour mademoiselle Bourdon, mais ait pour elle la plus grande admiration pour son talent et son immense charisme. Elle est la seule à ne pas avoir besoin d’être nommée Etoile pour briller à chacune de ses apparitions . Elle est unique, ce qui n’enlève rien aux autres astres de cette belle compagnie. Au contraire. Le temps fera son travail.. personne en tous cas n’oubliera qu’elle fut le plus beau Cygne de ces dernières décennies que ce soit dans sa maison ou dans le temple de la danse qu’est le théâtre Mariinsky qui représente à lui seul pour cette jeune ballerine, pour y avoir été invité uniquement grâce son talent vertigineux, une consécration sans faille ni contestation possible.

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  8. James dit :

    MOI,aussi j’adore Bourdon et je suis fan de la première heure quand en 2012 elle est apparue sur la scène (alors, encore) mythique de l’Opéra a dansé la Bayadère de façon unique. Depuis elle ne cesse de m’éblouir à chacune de ses apparitions qui sont un triomphe ,d’ou l’engouement du public . De toute façon on ne peut pas la comparer aux autres parce qu’elle est à part et son cas est unique. On verra, elle ouvre un nouveau chemin, d’autant qu’être nommée Etoile aujourd’hui ne veut plus dire grand chose.

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  9. Vadim dit :

    C’est vrai que Heloise bourdon est sublime même quand elle ne fait rien
    Chacune de ses apparitions en scène est captivante
    Bras , Mains , Port de tête , Dos ,Expressions de cristal , Classe , Présence …Technique . Elle est l’étoile de cœur du public .
    Tout y est sauf …un bonne adresse d’opticien pour la direction !

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    1. BA dit :

      Vadim je respecte votre commentaire, mais, si je peux me permettre, je trouve votre dernière phrase un peu
      prétentieuse. Je ne suis pas une inconditionnelle d´H. Bourdon tout en reconnaissant q´elle danse très bien, mais elle ne me touche pas. Je l´ai trouvée très bien dans la Bayadère.
      Bonnes fêtes a tous !

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      1. Mrie dit :

        Quand une danseuse sujet fait lever Bastille à plusieurs reprises, est invitée à danser notamment à l’étranger, reçoit des dizaines de bouquets de fleurs (parfois même directement sur scène), et crée autant d’engouement (certes dont vous ne faites pas parti), je pense également comme Vadim que le problème ne vient pas d’elle mais plus de la direction et du système. Quand la direction ne veut pas d’un danseur ou d’une danseuse, rien à faire.
        La directrice ne l’a pas distribué car elle avait déjà prévu de nommer une autre danseuse ( ça aurait fait tâche et difficile à justifier de la nommer et de laisser Mlle Bourdon à son grade alors qu’elle a présenté en 2015 la plus belle interprétation d’Odette/Odile de ces dernières saisons).
        Qu’elle fasse un excellent ou un mauvais concours, le résultat est toujours le même. Le problème vient juste du fait qu’outre l’influence de la direction sur les résultats, le reste du jury est principalement composé de danseurs et de danseuses de la compagnie (et d’après certains échos, il y aurait beaucoup de copinages).
        Dommage, je ne pense pas que Mlle Bourdon attendra indéfiniment. En espérant qu’elle n’aille pas trop loin ! (cc Mathilde Froustey)

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  10. Sylvie dit :

    Je ne pourrais pas dire si Mathilde Froustey et Héloïse Bourdon sont des étoiles mais assurément ce sont des solistes et leur parcours à l’opéra interrogent, non pas sur le principe de hiérachie en lui-même, mais sur les critères de promotion. N’y a-t-il que la prestation au concours de promotion ou/et l’ensemble du travail ? Ce n’est bien clair. C’est tout aussi frustrant pour les danseuses ou danseurs concernés que pour le public et j’avoue que j’aurais volontiers été voir le lac des cygnes avec Héloïse Bourdon qui a recueillie davantage de critiques positives ces dernières années que les étoiles.

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    1. Mrie dit :

      Parfois c’est la prestation du concours, parfois c’est l’ensemble du travail, parfois c’est incompréhensible

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